L’INFINIE PUISSANCE DU COEUR :
SUIVRE LA VOIX DE SON AME
La période actuelle étant particulièrement dynamique du point de vue astrologique (Jupiter opposé Vénus/Pluton, le tout en carré d’Uranus…), je vous propose ce soir un article qui n’aura pas pour thème l’astrologie, une fois n’est pas coutume, mais qui se fera le relais de quelques unes de mes lectures et inspirations du moment. De ces petites perles de bonheur, récoltées de ci de là et que je vous partage.
La première petite perle est un extrait du livre d’Anita Moorjani « Diagnostic incurable mais revenue guérie à la suite d’une NDE ». Anita est une femme au vécu incroyable : elle a contracté il y a quelques années un cancer qui a tellement affaibli son corps qu’elle a fini par « mourir ». Mourir, enfin pas vraiment, puisqu’elle a en fait vécu une NDE (expérience de mort imminente) d’où elle est revenue. On sait maintenant que les cas de NDE sont fréquents mais là où l’expérience d’Anita est particulièrement forte, c’est qu’elle a été tellement transformée par ce qu’elle a vu de « l’autre côté » qu’en revenant dans son corps, elle a immédiatement guérie. Quand je dis immédiatement, c’est à dire que du moment où elle s’est réveillée, les cellules cancéreuses ont commencé à décroitre puis à disparaitre et en quelques jours, elle était rétablie. Elle explique dans son livre qu’elle a simplement pris conscience de l’être magnifique qu’elle était en réalité (et que nous sommes tous) et que c’est cette prise de conscience qui a opéré la guérison.
Voici un extrait du livre que je trouve particulièrement percutant…
Question : Pensez-vous qu’avant de prendre une forme physique, nous soyons déjà des êtres magnifiques totalement conscients de ce que nous sommes vraiment ? Dans ce cas, notre magnificience s’érode-t-elle quand nous venons au monde ?
Anita : Je vais vous dire ce que je pense, mais j’ai peur que cela ne génère plus de questions que de réponses ! Il me semble que nous ne sommes pas conçus pour oublier qui nous sommes et que cette vie n’est pas censée être aussi difficile. C’est comme si nous l’avions rendue pénible avec nos idées et nos croyances hors de propos.
La compréhension intérieure que j’ai reçue dans ce monde-là m’a été transmise comme une sorte d’ »impression », mais si je mets des mots dessus, voici ce que je dirais intérieurement dans cet état-là : « Oh ainsi la vie n’est pas supposé être un combat – nous sommes censés prendre du plaisir et nous amuser !
Dommage que je n’ai pas su plus tôt ! (…) Ah si seulement j’avais su que nous sommes simplement censés venir ici et nous sentir bien avec nous-même et avec la vie, simplement nous exprimer et nous amuser ! »
Ce passage remet clairement en question les notions de karma, de faute, de punition, de culpabilité, de souffrance utile etc… Pour Anita, et selon ce qu’elle a compris de l’autre côté, la chose essentielle « à faire » ici-bas est de se souvenir de notre magnificience et de nous aimer pour cela. Et de profiter de la Vie. Voici un résumé très succint, qui ne rend malheureusement pas hommage à toute la profondeur du livre et de l’expérience d’Anita.
L’autre graine de bonheur glanée ces jours est la chanson Arietty’s song de Cecile Corbel, ballade dont la beauté est réconfortante. La fin de la vidéo comporte une interview que je trouve très inspirante puisque Cécile raconte comment, par le plus grand des hasards, elle a réalisé son rêve, c’est à dire composer de la musique pour les studios japonais GiBli. Il y a quelque chose de très inspirant dans son récit. Je vous laisse sur ces quelques notes de harpe et vous souhaite de bien prendre soin de vous…
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